Le 21/09/2014 à 07:01 par Anon - Site web Dans le courant de l'Année 2000, mon mari s'est pris d'amitié avec un collègue de travail que nous avons reçu à dîner un soir a la maison. Au cours de la conversation, ils ont parle de religions, entre autres, et ce collègue lui a fait part d'un événement qui s'était passé en 1974 à Ares (près d'Arcachon). C'est la mère de celui-ci qui avait été abordée dans la rue et qui a acheté le livre " La Révélation d'Arès "; et qui l'a ensuite passé à son fils.
Mon mari a, à son tour, acheté le livre et a écrit â Michel Potay, le fondateur du mouvement et témoin de "l'événement", qui lui a répondu une lettre de 10 pages pour dit-il "vous aider, c'est mon rôle, a comprendre plus vite ce saint livre en levant quelques brouillards "
En décembre 2000, mon mari, qui avait lu et relu la Révélation d'Ares, a présenté ses voeux à Michel Potay et y a joint un chèque représentant la 1/2 dîme (5% du salaire annuel). Deux échanges de correspondance avec Michel Potay ont ensuite eu lieu : en décembre 2000 (remerciement de M. Potay pour l'offrande) et mai 2001.
S’ajoute en 2001, l’achat des livres de M. Potay et un pèlerinage à Arès en août 2001, pendant une semaine (J’ai fait partie du voyage en faisant du tourisme et du vélo aux environs d’Arcachon).
En janvier 2002, 2ème versement représentant la 1/2 dîme puis toujours achat de livres de la Révélation d'Ares pour les futurs adeptes.
En outre, durant l'année 2002, mon mari m'informe qu'un dimanche par mois, il aura des réunions; il part le matin avec un sandwich et revient vers 17h.
En semaine, selon son emploi du temps, il missionne dans Paris, avec un autre ami-adepte, pour faire connaître à l'aide de tracts, la Révélation d'Ares.
Le soir. â la maison, il me parle et me reparle de cet événement magnifique et me conseille de lire la Révélation d’Arès.
Le 9 août 2002, mon mari et moi nous nous sommes rendus dans la famille passer un week end à Pessac (à côté de Bordeaux). Peu après notre arrivée, le soir, mon mari m'informe qu'il me laissera la voiture et que lui ira à Ares, le samedi après-midi, puis le dimanche après-midi. Prise "au dépourvu", je lui fais remarquer que ce n'était pas prévu au programme et que je ne suis pas d'accord. J'ai donc décidé de rentrer seule sur Paris des le samedi matin, mon mari étant rentré le dimanche soir par le train. Un autre incident du même type survient le 19 septembre 2002 ; alors que nous étions tous deux invités à une soirée, il me demande de prendre ma propre voiture car il ne pourra pas rester longtemps, ni me ramener, pris par ses engagements aux pèlerins d'Ares. Encore une fois, j'ai protesté vigoureusement pour la façon de me mettre devant un fait accompli et de ne pas savoir mener son engagement en dehors de notre vie, comme nous avions convenu.
Son discours revendiquant LA vérité sur la Révélation d'Ares, son droit â la liberté, ainsi que certains changements de comportement allant jusqu'à créer un climat familial conflictuel permanent, m'ont alertée, inquiétée, et conduite à effectuer des recherches sur la nature de ce mouvement des Pèlerins d'Ares.
Jusqu'à présent, les documents et articles de presse que j'ai lus ainsi que les informations obtenues, conclue à une mise en garde vis-à-vis de ce mouvement.
Mon mari comprend mes craintes.
Je corresponds maintenant avec d' anciens adeptes que j'ai retrouvés.
J'ai aussi rencontré une adepte pour essayer d'y voir plus clair. Je n'ai pas eu, à ce jour, de réponses aux questions que je me pose, sur les activités du mouvement, sur les comptes annuels de l'Association, bref simplement sur la vie d'une association régie par la loi 1901.
Livre d'or
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Dans le courant de l'Année 2000, mon mari s'est pris d'amitié avec un collègue de travail que nous avons reçu à dîner un soir a la maison. Au cours de la conversation, ils ont parle de religions, entre autres, et ce collègue lui a fait part d'un événement qui s'était passé en 1974 à Ares (près d'Arcachon). C'est la mère de celui-ci qui avait été abordée dans la rue et qui a acheté le livre " La Révélation d'Arès "; et qui l'a ensuite passé à son fils.
Mon mari a, à son tour, acheté le livre et a écrit â Michel Potay, le fondateur du mouvement et témoin de "l'événement", qui lui a répondu une lettre de 10 pages pour dit-il "vous aider, c'est mon rôle, a comprendre plus vite ce saint livre en levant quelques brouillards "
En décembre 2000, mon mari, qui avait lu et relu la Révélation d'Ares, a présenté ses voeux à Michel Potay et y a joint un chèque représentant la 1/2 dîme (5% du salaire annuel). Deux échanges de correspondance avec Michel Potay ont ensuite eu lieu : en décembre 2000 (remerciement de M. Potay pour l'offrande) et mai 2001.
S’ajoute en 2001, l’achat des livres de M. Potay et un pèlerinage à Arès en août 2001, pendant une semaine (J’ai fait partie du voyage en faisant du tourisme et du vélo aux environs d’Arcachon).
En janvier 2002, 2ème versement représentant la 1/2 dîme puis toujours achat de livres de la Révélation d'Ares pour les futurs adeptes.
En outre, durant l'année 2002, mon mari m'informe qu'un dimanche par mois, il aura des réunions; il part le matin avec un sandwich et revient vers 17h.
En semaine, selon son emploi du temps, il missionne dans Paris, avec un autre ami-adepte, pour faire connaître à l'aide de tracts, la Révélation d'Ares.
Le soir. â la maison, il me parle et me reparle de cet événement magnifique et me conseille de lire la Révélation d’Arès.
Le 9 août 2002, mon mari et moi nous nous sommes rendus dans la famille passer un week end à Pessac (à côté de Bordeaux). Peu après notre arrivée, le soir, mon mari m'informe qu'il me laissera la voiture et que lui ira à Ares, le samedi après-midi, puis le dimanche après-midi. Prise "au dépourvu", je lui fais remarquer que ce n'était pas prévu au programme et que je ne suis pas d'accord. J'ai donc décidé de rentrer seule sur Paris des le samedi matin, mon mari étant rentré le dimanche soir par le train. Un autre incident du même type survient le 19 septembre 2002 ; alors que nous étions tous deux invités à une soirée, il me demande de prendre ma propre voiture car il ne pourra pas rester longtemps, ni me ramener, pris par ses engagements aux pèlerins d'Ares. Encore une fois, j'ai protesté vigoureusement pour la façon de me mettre devant un fait accompli et de ne pas savoir mener son engagement en dehors de notre vie, comme nous avions convenu.
Son discours revendiquant LA vérité sur la Révélation d'Ares, son droit â la liberté, ainsi que certains changements de comportement allant jusqu'à créer un climat familial conflictuel permanent, m'ont alertée, inquiétée, et conduite à effectuer des recherches sur la nature de ce mouvement des Pèlerins d'Ares.
Jusqu'à présent, les documents et articles de presse que j'ai lus ainsi que les informations obtenues, conclue à une mise en garde vis-à-vis de ce mouvement.
Mon mari comprend mes craintes.
Je corresponds maintenant avec d' anciens adeptes que j'ai retrouvés.
J'ai aussi rencontré une adepte pour essayer d'y voir plus clair. Je n'ai pas eu, à ce jour, de réponses aux questions que je me pose, sur les activités du mouvement, sur les comptes annuels de l'Association, bref simplement sur la vie d'une association régie par la loi 1901.